Catégories : Rencontres BDSM Bondage Shibari Kinbaku
il y a 4 ans
Une histoire érotique de bondage où les filles prennent la main par surprise.
Ca faisait bientôt une heure que je bataillais devant l'écran à utiliser tous les outils que je connaissais et à chercher sur les forums spécialisés comment nettoyer ce fichu PC. Mais j'y étais presque: depuis dix minutes, tout semblait fonctionner correctement. Je crois même que sa machine démarrait beaucoup plus rapidement.
Je devinait Céline quelque part derrière moi, silencieuse et soulagée. Elle était tellement inquiète lorsque je suis arrivé, sa voix tremblait presque quand elle m'expliquait ne plus pouvoir ouvrir son navigateur ou même un simple document Excel.
- C'est bon? Ca marche maintenant?
Je n'étais pas peu fier de moi: comme neuf ou presque. Un peu de RAM et un nouveau disque dur, j'en ferais une bête de course de cet ordinateur. Pour peu qu'elle veuille y mettre quelques euros...
- Oui. Tout y est, regarde: rien de perdu. Tu devras peut-être rentrer quelques mots de passe de-ci de-là mais il est au top maintenant.
Elle ne dit rien mais j'entendis son soulagement. Si je m'étais retourné, j'aurais vu son visage s'illuminer, j'en suis sûr et certain.
-
J'active la recherche heuristique, je le redémarre juste une fois pour lancer un scan complet en mode sans échec et l'affaire est bouclée. Ca devrait... Euh, je te parle en chinois là, c'est ça?
-
Non, non, pas du tout. (...) Enfin si. Mais ce n'est pas grave! Tu me sauves. Je ne sais même pas comment te remercier.
Ces quelques mots, ça suffisait à me faire plaisir en fait. N'importe comment, si je n'étais pas venu, Sandra m'aurait fait la tête pendant des jours. Et puis, ça m'amuse l'informatique.
-
En fait, si, j'ai peut-être une idée. Je voulais te faire une surprise depuis quelques temps...
-
C'est vrai?
-
Une surprise, j'ai dit! Tu dois fermer les yeux. Et pas de triche!
L'ordinateur venait de redémarrer. Je vérifiai les trois lignes de texte à l'écran. L'antivirus commençait son scan.
- D'accord. Promis.
Je fermai les yeux, j'entendis Céline se rapprocher, ses talons claquant sur le parquet.
-
Tu triches, j'en suis sure.
-
Mais non!
Elle glissa sur le côté, je la perdis de vue deux secondes, et réapparut en tenant un torchon dans sa main. Un grand sourire aux lèvres aussi.
-
S'il le faut, je te bande les yeux. Comme ça tu ne pourras pas faire semblant.
-
On n'est peut-être pas obligé d'en arriver là. Puisque je te dis que... Oh et puis bon, allez, vas-y.
Le torchon qu'elle tenait avait l'air propre (heureusement) et surtout je commençais à me demander quelle surprise m'attendait. Elle le posa sur mes yeux, plié en une large bande, et le noua derrière ma tête.
- Viens avec moi maintenant.
Elle prit ma main, m'invitant à me lever et je me laissai guider incapable de savoir vers où: le bandeau me permettait de voir un mince filet de lumière vers le bas, à peine de quoi voir mes jambes, mais en aucun cas de m'orienter.
Nous fîmes une pause après quelques mètres. Céline me lâcha la main quelques secondes en me demandant d'attendre. Il était encore tôt dans l'après-midi mais ici la lumière avait nettement baissé. Quelques claquements de talons sur le sol. Sa main posée sur mon bras.
- On y est presque. Avance de quelques pas, s'il te plaît.
J'avançai mais mon pied cogna dans quelque chose, je pensai une chaise ou un tabouret, quelque chose de dur en tout cas, et manquai de tomber complètement. Heureusement, Céline me tenait.
C'est à ce moment que je sentis une menotte se refermer sur mon poignet. Crrrrrcc. Et mon bras se tordre si bien qu'avant de pouvoir réagir, je venais de me faire menotter, les bras dans le dos.
- Céline! Qu'est-ce que...
Fait comme un rat. Je connais un peu sa maison mais j'ignorais où je me trouvais. Bouger dans un sens ou dans l'autre devenait risqué.
-
Céline?
-
Je suis là, ne t'inquiète pas. Je prends juste deux ou trois choses.
La première, ce devait être un rouleau d'adhésif: je cherchai ce qu'était le petit bruit, tac!, suivi de ses pas. Elle se posta quelque part en face de moi et me colla un large morceau en travers de la bouche. Puis un second par dessus.
Le deuxième, c'était une corde. Serrée doucement mais fermement au-dessus de mes coudes que je sentis se rapprocher dangereusement avant qu'elle ne fasse un noeud.
Puis elle me f o r ç a à m'allonger, je ne sais trop comment. Bâillonné, les yeux bandés, les mains attachées, si je ne me laissais pas faire, je craignais de tomber et de me faire mal. Alors, je me retrouvai allongé par terre, sur le dos, essayant de ne pas m'enfoncer le métal des menottes dans mes reins.
Elle enleva mes chaussures, mes chaussettes aussi, et me ligota les chevilles sans rien dire. Je l'imagine aujourd’hui affichant un immense sourire, presque à ricaner. Puis mes jambes furent à leur tour attachées, là, juste au-dessus des genoux.
- Mmmmfff...
Je n'avais pas pu retenir ça. Je tâchai de rester calme, ma respiration s'était accélérée.
- Quoi? Tu n'aimes ma surprise? Pourtant Sandra ne cesse de me dire que tu adôôôre ça...
J'allais me débattre. C'est alors qu'elle me renversa sur le ventre puis me fit tourner en tirant sur mes pieds. Quelques degrés seulement. Je compris un peu plus tard qu'elle venait d'attacher ce qui restait de corde entre mes chevilles au pied du lit.
En effet, je l'entendis s'éloigner au bruit de ses talons non sans me recommander de rester sage et de m'amuser avant qu'elle ne revienne. Plus tard.
Quand je fus certain qu'elle était partie et après avoir retrouvé mon calme, je commençai à remuer un peu, à tirer sur mes coudes, sur mes poignets. Pas trop les poignets: Sandra nous avait acheté des menottes il y a longtemps, petit matériel peu agréable et qui avait la fâcheuse tendance à se resserrer encore plus si le verrou n'était pas dans la bonne position. Je ne voulais surtout pas que celles-ci fassent pareil. C'est alors que je constatai que Céline avait fixé mes jambes à quelque chose; j'avais quelques centimètres de mou, à peine, il me serait impossible de chercher à me relever.
En frottant ma tête contre le sol, je réussis finalement à faire glisser le bandeau et à l'enlever complètement. Peut-être qu'en insistant je pourrait décoller mon bâillon? Cette petite réussite qui me remplit d'espoir. Je compris alors où j'étais: une chambre au rez-de-chaussée. La chambre d'ami. J'y avais dormi à l'occasion avec Anne après une ou deux soirées qui s'étaient prolongées. Dans le lit, pas au pied du lit, là où je me trouvais à cet instant.
Au loin, j'entendais la voix de Céline et bientôt elle apparut, le téléphone collé à l'oreille.
-
MMMmphphfff. MMmmm.
-
... est prêt. Ligoté et bâillonné. Ah, zut! Attends, il a enlevé son bandeau. (...). Pas grave, tu as raison. (...). Mais, oui, il va rester sage. Tu penses arriver dans combien de temps? (...). Oh, non! Quand même pas? Je... (...). Sure? Je peux? MMmmm... (...). Très bien, Sandra, à tout à l'heure, ma chérie.
Je réalisai donc que j'étais victime d'un plan machiavélique orchestré par Sandra et Céline. Le virus sur son ordinateur était pourtant réel. Comment diable avaient-elles pu...?
La question que j'aurais dû me poser à ce moment-là est jusqu'où comptaient-elles aller. Surtout en voyant Céline s'approcher une corde à la main. Je fus retourné sur le ventre et mes poignets ligotés très solidement avant qu'elle ne m'enlève les menottes. Puis elle défit la corde qui me retenait au pied du lit, releva mes pieds et me plaça en hogtie.
J'entrepris minutieusement de me détacher dès qu'elle sortit de la pièce c'est-à-dire après m'avoir gratifié d'une puissante claque sur la fesse et menacé des pires représailles si jamais je ne me tenais pas tranquille. J'attendis un instant - l'avantage des talons et du parquet c'est que je l'entendais nettement s'éloigner - avant de me tortiller et de rouler sur le côté. N'étant pas précisément contorsionniste, je devais redoubler d'effort pour atteindre mes chevilles et gratter la corde du bout des ongles pour défaire le premier noeud.
C'était long, bien plus long que je ne l'avais imaginé. A ma grande surprise, elle avait fait un bon travail: après avoir défait deux noeuds il m'était toujours impossible de détendre mes jambes. Mais je persévérais: le temps jouait en ma faveur.
- Hep, hep, hep! Mais qu'est-ce que tu fais?!
Mince!
Trop concentré, je ne l'avais pas entendue revenir et surtout j'avais fait un demi-tour sur moi-même; je faisais face au lit maintenant.
- MMmmmffff!!! MMmmm! MMMmmpfffpffff...
Elle se rua sur moi et...
- J'arrive juste à temps je crois!
Elle défit le hogtie ,en fait juste la corde qui reliait mes poignets et mes chevilles, et me fit mettre debout péniblement en m'agrippant par le bras. Puis je dus traverser toute la maison jusqu'à l'entrée en sautillant, les jambes et les bras entravés. Je restai là quelques instants appuyé contre le mur. Céline revint très vite armée d'un rouleau de scotch transparent et d'une petite culotte rose toute chiffonnée qu'elle entreprit de plier et replier en une petite boule. Comme je faisais non de la tête, elle m'avertit en fronçant les sourcils:
-
Celle-ci est propre, joli coeur, mais je te promets que si tu résistes ou si tu cherches encore à te détacher, j'enlève celle que je porte et je m'en sers pour te bâillonner, compris?
-
MMmmm...
-
Très bien. Je préfère ça.
Alors elle arracha les deux morceaux d'adhésif collés sur ma bouche et m'enfonça la culotte roulée en boule dans la bouche. Elle enroula ensuite cinq tours de scotch par-dessus, avec le sourire.
Puis elle ouvrit la porte de la penderie, une sorte de placard étroit d'à peine 50cm remplie de vêtements divers et variés. Et moi maintenant. Flanqué bien au fond, la tête effleurant l'un des manteaux les plus longs, les jambes repliées vers le buste, tout seul dans le noir.
Je restai calme, essayant juste par moments de me tourner d'un côté ou de l'autre pour rendre la position moins inconfortable et écoutant le moindre bruit qui parvenait jusqu'à moi: un tiroir ouvert, le téléphone ou une voiture qui passait bruyamment au loin. La porte d'entrée à un moment. Puis...
- Coucou chéri, ça va?
C'est Sandra qui venait d'ouvrir la porte de mon placard, visiblement amusée de me trouver là.
-
MMmmmggggggmMMmmm!!! MMMffff...
-
Ca te plaît?
-
MMmmm!
-
Hein? Oui, ça a l'air, n'est-ce pas Céline?
-
Oh, oui, je crois. Enfin j'espère...
Pas fier de jouer la décoration, ligoté et bâillonné sous le regard moqueur de ces deux filles même si physiquement ça allait. Les noeuds solides empêchaient tout mouvement sans que la corde ne morde la peau. Je crois que j‘aurais pu rester encore de longues minutes comme ça.
Déjà elles m‘avaient oublié: à leur habitude, elles s‘étaient mises à parler, à parler, à parler... L‘une admirant les nouvelles bottes de l‘autre qui s‘émouvait de la robe cintrée de la première et se rappelait soudain de cette nouvelle boutique qui venait d‘ouvrir à côté de la bijouterie du centre. «Une tuerie!»
Il fallut un bon quart d‘heure avant que Céline ne suggère:
-
Tu as bien le temps pour un café?
-
Toujours...
-
Et lui, qu‘est-ce qu‘on en fait? On le laisse là ou on le détache?
Elles parlaient de moi comme d'un objet et m'inquiétaient un peu. Je commençai à lancer des cris, étouffés bien évidemment par le bâillon. Ce qui les amusait toutes les deux. Elles se mirent à chuchoter l'une à l'oreille de l'autre, ajoutant des hochements de tête. Je vis Céline s'éloigner alors que Sandra se penchait vers moi pour détacher mes jambes et m'aider à me relever.
Elle me conduisit dans le salon juste à côté. En passant, je jetai un coup d'oeil à l'ordinateur, à peine le temps de voir quelques lignes à l'écran qui montraient que l'antivirus était à l'oeuvre, puis je tombai sur le canapé.
Céline revint, armée d'une paire de collants tout chiffonnés. D'un rouleau d'adhésif marron aussi.
-
Ca ira? Je crois qu'il m'en reste d'autres dans la garage, je peux aller voir...
-
Attends, je viens avec toi. Il ne va pas s'en aller.
Puis en se tournant vers moi:
- N'est-ce pas chouchou? Tu vas rester bien sage, hein?
Ah, elles ricanaient toutes les deux! Bien entendu j'allais attendre tranquillement; il y a pire situation que de se retrouver à la merci de deux jolies filles qui n'ont pas de réelles mauvaises intentions. C'est ce que je me disais sur le moment. Je n'avais juste pas prévu que ça dure autant.
En effet, à leur retour, je me retrouvai encore plus solidement ligoté: l'une enleva mon bâillon, l'autre me retira pantalon et slip d'un coup avant de les remplacer par la petite culotte rose puis de m'enfiler la paire de collants sur les jambes. Céline avait ramené un petit rouleau d'adhésif noir supplémentaire, assez fin, avec lequel elle entreprit de me bâillonner à nouveau en le passant une bonne dizaine de fois entre mes lèvres et tout autour de ma tête, me laissant la bouche à moitié ouverte. Sandra de son côté commença à m'attacher les jambes avec son scotch d'emballage, en remontant des chevilles jusque sous les genoux, travail soigneux et rigoureux. Elle continua en me scotchant les cuisses depuis au-dessus des genoux jusqu'au plus haut qu'elle pouvait.
Une fois mes jambes bien immobiles, elle recommença en déroulant son scotch autour de mon ventre puis de ma poitrine, formant deux larges bandes épaisses de 30 cm qui me maintenaient les bras au dos et m'empêchaient de gigoter.
Le rouleau d'adhésif tout neuf ou presque en était réduit à peau de chagrin, quasi terminé. Mais Céline qui observait patiemment en préparait un autre, toilé, gris. On m'enfila un nouveau collant, sur la tête celui-là. C'est alors qu'elle me bâillonna un peu plus, quelques tours recouvrant ma bouche du menton à la base du nez. Et quelques tours supplémentaires sur les yeux en guise de bandeau.
Elles me laissèrent allongé par terre sur le tapis, immobile. Pas loin, suffisamment proches pour les entendre et sentir l'odeur du café.
-
On n'a pas exagéré un peu?
-
Mais non, penses-tu. Il aime ça. Je suis presque sûre qu'il aimerait le faire tous les jours.
-
Vraiment?
-
Bien sûr. Pas plus tard que mardi, ah non, mardi c'était moi. Dimanche matin en fait. A peine réveillé, il s'est mis à me coller de partout sous la couette. J'ai dû le...
-
Attends. Stop, stop, stop. Mardi tu disais?
-
Non. Mardi, c'est lui qui m'a attachée. Maillot de bain une pièce, bonnet de bain caoutchouc, assise par terre. C'était vraiment juste pour lui sur ce coup-là. Il m'a fait mettre les mains sous les genoux, il m'a attaché les poignets avec du gros scotch gris. J'étais pliée en avant, tu vois? Puis les chevilles et les genoux. C'était plutôt amusant au début mais après que... enfin... jusqu'au moment où il m'a bâillonnée. Mais c'est moi qui lui ai demandé. Avec un grand morceau d'adhésif. Sauf qu'il m'a laissée là pendant 3/4 d'heure.
-
Oh! Ca fait presque envie. Et tu...
D'un coup elles se mirent à parler plus bas; je n'arrivais plus à comprendre tout ce qui se disait sauf quelques éclats de voix et rires éparpillés.
Elle en disait beaucoup, Sandra, même si elle avait tendance à transformer un peu les faits à son avantage. La réalité était un peu différente mais dans ma position actuelle j'aurais été mal avisé de broncher ou de me manifester de quelque manière.
C'est alors que l'ordinateur se mit à lancer une sirène d'alerte: comme j'étais toujours ligoté et bâillonné au sol et les yeux bandés, impossible de dire ce qui se passait. Un bon signe quand même, il avait complètement redémarré. Ce que mes deux geôlières ne semblaient pas savoir.
Je les entendis s'agiter, aller et venir. Elles s'inquiétaient, Céline surtout.
- On le détache? Il vaut peut-être mieux.
C'est elle qui m'ôta bandeau et bâillon.
-
L'ordinateur... Il a démarré mais il y a un message bizarre à l'écran. Tu penses que c'est grave?
-
Je ne sais pas, Céline. Comme ça, je ne peux pas dire.
-
Ah, oui... Bien sûr. Désolée.
C'est ainsi qui je fus libéré. Quelques coups de ciseaux suffirent à me détacher complètement, un peu plus de temps pour décoller tous les morceaux d'adhésif dont elles m'avaient recouvert et un peu plus encore quand je réalisai combien je me sentais ridicule dans ces collants et cette petite culotte toute humide. En d'autres circonstances, ça aurait pu me plaire, seul avec Sandra par exemple, mais là, rien que son petit sourire moqueur me mettait trop mal à l'aise. Si bien que je m'éclipsai dans la chambre après avoir ramassé mon pantalon et mon slip.
Je revins, habillé et calmé. Céline était penchée sur son PC. Elle essayait de décrypter les messages barbares de l'antivirus, l'air extrêmement sérieux. A côté, Sandra debout ne souriait plus et me lançait un regard étrange dans le genre "Fais quelque chose".
Céline se leva pour me céder la place. Je commençai à lire.
-
Ah...
-
Quoi? Qu'est-ce que c'est?
-
Je...
Je me retins de rigoler, un gros effort pour garder un air sérieux, très sérieux. Ce n'était qu'un rapport de nettoyage qui listait des clés de registre supprimées, des fichiers temporaires effacés et quelques machins informatiques corrigés. En anglais bien sûr et dans des termes d'expert. Si seulement elle avait cliqué au bon endroit, elle aurait vu son ordinateur fonctionner comme avant, mieux sans doute.
-
Hé bien, c'est un peu plus grave que je ne le pensais, Céline. La bonne nouvelle, c'est que je sais comment réparer ça. Il y avait le même virus sur le PC de Sandra il y a 3 semaines. Ca va prendre une heure ou deux, mais on va pouvoir le sauver.
-
Ah! Ouf...
-
C'est un peu compliqué cependant, ça nécessite beaucoup de concentration.
-
Oh! Tu veux qu'on te laisse tranquille?
Un regard vers Sandra qui restait silencieuse.
-
On peut aller faire un tour, n'est-ce pas Sandra?
-
Non, non, pas ça. Je m'en voudrais de te chasser de chez toi. En fait, j'avais une autre idée...
Je me levai et me dirigeai vers le salon. J'y ramassai le rouleau de tape gris.
- Je vous attache toutes les deux le temps de régler ça. D'accord?
La réponse ne vint pas tout de suite, elle hésitait.
- Bon, je me mets où alors?
Elle s'avança tout lentement et Sandra suivit. Je les mis côte à côte et leur ordonnai de se retourner pendant que je déroulais le ruban adhésif. Je commençai par Sandra en lui attachant les poignets dans le dos, deux ou trois tours seulement mais bien serré. Puis j'approchai deux lourdes chaises en bois où je fis asseoir Céline en lui faisant passer les bras à travers les barreaux du dossier. Là, je lui attachai les poignets de la même manière et continuai avec quelques tours supplémentaires à la taille qui la maintenaient bien collée au fond de la chaise. Je déroulai ensuite l'adhésif dessus et dessous sa poitrine, cinq tours à chaque fois.
Elle se laissait faire et se contentait juste de glisser des petits soupirs, des 'Ouh' et des 'Ha' au fur et à mesure, interrogeant Sandra du regard, peut-être pour se rassurer, sans se débattre et sans gigoter. Au bout de quelques minutes, elle se retrouva les chevilles scotchées à chacun des pieds de la chaise, et les jambes tordues parce que je venais de lui attacher les genoux ensemble par dessus son legging. Et j'oublie: trois ou quatre tours de plus en travers des cuisses et qui passaient et repassaient sous l'assise de la chaise.
Elle fit quand même la grimace quand je lui demandai ""c'est bon?" et essaya de remuer un peu. Je me tournai alors vers Sandra.
- Ma chérie, à ton tour?
Une grimace elle aussi, alors qu'elle s'apprêtait à s'asseoir, les mains toujours attachées dans le dos.
- Non, attends un peu.
A vrai dire, elle méritait quelque chose de différent et il me restait suffisamment tape. Je lui attachai donc la poitrine par dessus son chemisier blanc, quelques tours à hauteur des épaules et plusieurs sous les seins - j'adore faire ressortir ses seins quand je l'attache. Elle commença à remuer aussitôt, ne faisant que confirmer que c'était solide. Puis je la fis s'agenouiller à droite de la chaise, le haut du corps appuyé sur l'assise. Je remontai alors légèrement sa jupe et je pus lui attacher les jambes au pied de la chaise avec quelques tours de ruban juste au-dessus des genoux.
Je lui croisai enfin les chevilles, chaussures enlevées, et les scotchai ensemble. Terminé. Ou presque. Encore quelques longueurs de ruban par dessous la chaise et à travers les barreaux du dossier pour fixer son buste à l'assise.
Là. J'étais content de moi, sûr qu'elle ne pourrait pas bouger. Il ne restait plus qu'à la bâillonner, à les bâillonner toutes les deux. Sandra d'abord: j'ôtai ses chaussettes fines à sa chère amie, je lui en fourrai une dans la bouche et j'enroulai la vieille paire de collants qu'elles m'avaient passé sur la tête un peu plus tôt autour de la sienne, en l'étirant le plus possible et en le passant entre ses lèvres, avec un bon noeud. Céline ensuite: un long morceau de tape appliqué sur sa bouche toute fermée auquel j'ajoutai par sécurité le torchon avec lequel elle m'avait bandé les yeux, bien à plat, plié en une large bande qui lui couvrait tout le bas du visage et noué très solidement derrière la tête.
Puis je m'éloignai en direction de l'ordinateur de Céline: si je voulais profiter un peu de ces deux demoiselles en détresse, je me devais au moins de faire semblant de travailler dessus. Et de là-bas, je pouvais les observer.
Un joli spectacle. Je les observai commencer à se débattre, tout doucement, chacune à son tour et je devinai leurs "MMMmmmm!!!" récurrents. Quand même pour assurer ma promesse, je repassai le PC au peigne fin: mise à jour de quelques programmes, suppression des fichiers temporaires, nettoyage du disque, etc.
Avant de les détacher.
Comme Sandra m'avait déposé en voiture en début d'après-midi, nous devions f o r c é ment rentrer ensemble. Ah, j'ai hésité: la garder ligotée, la porter jusqu'à la voiture et la déposer dans le coffre. Hhummm: je garde l'idée. Une autre fois peut-être...
Utten
Cette ressource n'a pas encore été commentée. |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)